lundi 19 décembre 2011

Mon expérience de Blogueuse

J’avouerai que l’idée d’avoir un Blogue et de poster régulièrement des articles, ne m’enchantait pas beaucoup. En réalité, j’étais effrayée de souffrir du syndrome de la page blanche, et ce, avant même de choisir mon sujet et de commencer à écrire. Et puis, je me disais qu’il serait difficile d’écrire des propos pertinents et surtout qui pourraient être intéressants. Alors, quand cet exercice est devenu un travail de session comptant pour 50% de ma note finale, j’avoue que j’ai été prise au dépourvue.

Cependant, dès la rédaction de mon premier article, je me suis rendu compte que j’avais beaucoup plus de choses à dire que je le pensais. Étonnamment, je n’ai jamais eu énormément de misère à trouver des sujets. Mes craintes du départ n’étaient pas fondées. Le seul obstacle que j’ai heurté à plusieurs reprises, c’est le manque de temps. Beaucoup de mes idées d’articles n’ont jamais vu le jour à cause de ce facteur.

Bien que la session universitaire tire à sa fin et que la rédaction d’articles ne soit bientôt plus obligatoire, je songe à garder mon blogue ouvert et continuer à y écrire des articles. J’avoue que cette expérience m’a séduite et elle a grandement influencé mon choix de conserver mon blogue. D’ailleurs, sans celle-ci, il est fort probable que je ne me sois jamais ouvert de blogue. Comme dit un vieux dicton publicitaire « l’essayer, c’est l’adopter ».    

samedi 17 décembre 2011

Fin de session rime avec "économies"

Comme beaucoup d’étudiants, je suis en pleine fin de session universitaire. Les travaux et l’étude occupent tout mon temps. Je dirais même que je manque de temps. Ma situation actuelle hypothèque ma vie sociale. Lorsque mes amis me proposent de sortir, je leurs donne tous la même réponse : « ah non, j’ai trop de travaux d’école à faire ». Résultat, je ne sors plus et surtout je ne vois plus personne, du moins, en dehors de mon lieu de travail. Dans mon cas, cette inactivité sociale, me fait économiser beaucoup d’argent. Pas d’amis, pas de sorties et un horaire surchargé, égale aucune dépense d’argent superflue. Les raisons sont multiples, le manque de temps serait la première. Cependant, la perte de contact avec mon réseau social serait probablement la deuxième raison (en ordre d’importance). Les sorties représentent ma deuxième plus grosse dépense inutile (âpres les vêtements bien sur). Or, mes amis sont ceux qui influencent mes sorties. Rare sont les personnes qui vont au cinéma tout seuls ou sortent boire un verre en solitaire. Tout cela pour dire que ce ne sont pas uniquement les publicités et autres astuces marketing qui nous influence. Notre réseau social influe lui aussi nos actes et souvent, il l’influence beaucoup plus qu’on ne le pense. Combien de fois êtes vous allez voir un film parce que l’un de vos amis vous l’a conseillé ? Les exemples sont multiples.

Nous nous laissons facilement influencer par notre entourage. Toutefois, nos amis n’influence pas seulement nos acte, ils modifient aussi notre façon de penser. Je vous laisse méditer la dessus et vous promet de revenir sur le sujet demain. Je dois absolument retourner à mes travaux de fin de session.

vendredi 9 décembre 2011

De moi, à moi!

En ce joyeux « temps de fêtes », j’ai décidé de vous faire offrir d’une deuxième « post » sur Noël et ses influences sur nos achats!

J’ai mené un petit sondage auprès de mes clients, durant les deux dernières semaines. Voici la question posée : Avez-vous déjà terminé votre magasinage des cadeaux de noël ?
J’ai découvert quelque chose de très intéressant. Premièrement, cette année la tendance voudrais que les gens s’y soient pris pas mal à l’ avance. Les réponses les plus fréquentes étaient : « Oui c’est fini! » et « j’ai presque terminé, je suis la pour en finir aujourd’hui ». Dans les deux cas, ces personnes finissent par acheter des items pour eux-mêmes!! Ce qui est très étonnant, c’est que les vêtements de la boutique où je travaille sont plutôt dispendieux et la majorité des clients, en cette période de l’année, ne font pas partie de notre clientèle habituelle, ou plutôt notre clientèle d’habituée. Tout ceci n’a rien de scientifique, mais mes observations laissent à penser qu’en fin d’année les gens en profitent pour se faire plaisir. Ou alors, ils ne magasinent pas souvent et quand ils entrent dans les magasins, ils se laissent influencer et séduire (par les vitrines, les promotions, les vendeurs…).

En résumé, même on se trouve dans les centres commerciaux pour acheter des cadeaux, nous finissons presque tous, par acheter des choses pour nous-mêmes. Parfois on dépense plus pour nous, que pour les autres. Le pire c’est qu’on justifie nos achats en disant « je me gâte, ça sera un cadeau de Noël de moi à moi ». Finalement, cette philosophie (ou plutôt façon de penser), c’est noël, on se gâte, nous pousse à consommer beaucoup plus qu’a l’habitude. Et je vous fais grâce de mon discours sur la commercialisation de nos Noël. Sur ce, joyeuses fêtes et surtout ne dépenser pas trop, ils essayent de vous influencer!

samedi 3 décembre 2011

Petit papa noel

 On est le 3 décembre et Noël approche à grand pas (je voulais écrire ce billet le 1er décembre mais j’ai été submergée par mes travaux de fin de session). Les chansons de noël jouent à tue tête dans tous les lieux publics, les décorations de noël sont omniprésentes peu importes où l’on va et les gens ont envahi les centres commerciaux, à la recherche des cadeaux parfaits.
«Cadeaux», voila un mot que je n’arrête pas d’entendre ses temps-ci. Étrangement il rime bien avec un autre mot «acheter». On parle souvent de Noël comme une fête commercial, et pour cause. De nos jours, la représentation que nous avons de Noël a été créée de toute pièce par des entreprises cherchant à faire d’avantage de profits.

J’ai donc décidé d’explorer le sujet et de comparer ce que représente Noël pour la population canadienne à ce quelle était à l’origine.


Tout a été déformé et amélioré afin d’en faire un outil marketing redoutable et créer une culture commerciale.

J’ai trouvé quelques statistiques qui montre à quel point les gens surconsomment durant cette période de l’année :
http://www42.statcan.ca/smr08/2010/smr08_149_2010-fra.htm.